Seneffe en août : les auteurs et traducteurs présents

07.07.2023
actualités
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Cette année encore, le château de Seneffe accueillera traducteurs et traductrices, et auteurs et autrices pour une résidence de travail en août. Les noms des participant-e-s sont connus.

La résidence

La résidence littéraire (traduction et écriture) « Seneffe en août » vise la promotion de la traduction des lettres belges francophones et la circulation des auteurs et autrices belges à l’étranger. Elle est organisée par Passa Porta et soutenue par la Fédération Wallonie-Bruxelles.

Dans le cadre propice des dépendances rénovées du château de Seneffe et son parc, la résidence met à disposition de ses invité-e-s un environnement de travail idéal, pour des séjours de deux semaines (minimum) à un mois (maximum). Elle accueille principalement des traducteurs et traductrices du monde entier, travaillant à la traduction d’auteurs et autrices belges francophones. Deux places sont aussi réservées aux traducteurs et traductrices belges francophones. Des auteurs et autrices belges participent également à cette résidence estivale.

Suite à l’appel à candidatures lancé à l’automne 2022, les résident-e-s d’août 2023 sont désormais connu-e-s.

Traducteurs et traductrices étrangers

La résidence accueillera huit traducteurs et traductrices étrangers travaillant chacun à la traduction d’un livre d’un auteur ou d’une autrice belge.

  • Silvia Moreno Parrado (Espagne) pour une traduction de L’Asturienne de Caroline Lamarche (Les impressions nouvelles)
  • Andrea Inglese (Italie) pour une traduction de Dans un pays plutôt phénoménal de Pascal Leclercq (L’herbe qui tremble)
  • Todorka Mineva (Bulgarie) pour une traduction de Le désir de mémoire de Vincent Engel (Karthala)
  • Saideh Sadat Kaboli (Iran) pour une traduction de Un automne au creux des bras de Philippe Mathy (L’herbe qui tremble)
  • Gabriela Porto Alegre (Brésil) pour une traduction du Grand Menu de Corinne Hoex (Les Impressions Nouvelles)
  • Aya Umezama (Japon) pour une traduction de La nuit est ma lumière d’Étienne De Greeff (père de la criminologie en Belgique, livre paru en 1949 au Seuil, épuisé en français)
  • Carlos Rodriguez (Mexique) pour une traduction de Hall de nuit de Chantal Akerman (L’Arche)
  • Katarzyna Marczewska (Pologne) pour une traduction de Moi qui n’ai pas connu les hommes de Jacqueline Harpman (Stock/Livre de Poche)

Traducteurs et traductrices de la FWB

  • Maxime Lamiroy : montage de textes et le commentaire de poètes russes autour de la Belgique, Les Belgiades, à paraître chez Lamiroy
  • Pascal Leclercq : révision de la traduction de Colonnes d’aveugle (+ inédits) d’Andrea Inglese (IT) à paraître au Boustrographe

Auteurs et autrices

Six auteurs et autrices résideront à Seneffe pour travailler à de nouveaux projets. Tous les genres littéraires sont éligibles.

  • Tûyet-Nga Nguyen pour Le joueur de flûte (roman)
  • Elisa Sartori pour L’avion (roman jeunesse)
  • Jean-Philippe Convert pour Grande tisseuse (texte hybride)
  • Violaine Lison pour un récit poétique autour de 3 soldats de 14-18 (Léonce, Paul, Herman)
  • Claire Olirencia Deville et Joëlle Sambi pour La plage avant (théâtre)
  • Sandra De Vivies pour La femme du lac (enquête littéraire et photographique)
07.07.2023