Literatuurmix | Simina Oprescu
À l’approche du Passa Porta Festival, nous avons demandé à l’artiste sonore et visuelle roumaine Simina Oprescu de s’emparer de quelques fils rouges de cette édition : la place du genre humain dans le monde (l’écologie), et le lien entre femmes et pouvoir.
Simina a donc choisi avec soin ses morceaux préférés, dans lesquels les mots tiennent une place essentielle, afin de former un long poème suivi.
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TRACKLIST
Murray Ostril – “They Don't Sleep Anymore On The Beach”, from Godspeed You! Black Emperor, album ‘Sleep’
Philip Glass, “Einstein on the Beach Knee Play 2”
Laurie Anderson – “Let XX”
Muslimgauze – “Mullah Said”
Ghérasim Luca – “Passionnément”
“Chants des pêcheurs de perles Muharraq” from “Bahreïn et Shardja. Pêcheurs de perles et musiciens du golfe persique", Ocora, 1982
Suzanne Ciani – “Flowers Of Evil” (based on the poem “Élévation” by Charles Baudelaire)
Toru Takemitsu – “Harakiri”
Locust – “Truth is Born of Arguments” & Pauline Oliveros on Deep Listening Practice
SQÜRL – “Pink Dust”
Trisomie 21 – “La fête triste”
Simina Oprescu est une compositrice, artiste vidéo et mixed-media vivant à Bucarest. Depuis trois ans, elle concentre son travail sur le son et la composition. Entre 2017 et 2018, elle étudie la composition acousmatique du Conservatoire royal de Mons. Tirant profit dans ses compositions de différents instruments, « objets sonores » et programmes numériques, l'artiste utilise le son comme une expérience, comme une compréhension profonde de soi et de son environnement. Voir aussi siminaporescu.net, son Bandcamp et Soundcloud.